Ma'al - Le silence des morts.

Que savez vous sur ce guerrier silencieux ?

Peu de choses, il ne parle que rarement, et peut, dans ses moment être loquace.

Il est frère d'arme avec Nayem et semble dénué de peur. C'est lui qui frappa l'enfant du chaos qu'était devenu le sorcier, malgré la terreur qui émanait de la monstruosité.

Brin, de taille normale pour un nordique, robuste, presque trapus ; mais c'est un effet qui du à sa musculature très développée.
Il taille sa barbe es taillée pour qu'elle ne soit pas gênante mais qu'elle protège tout de même du froid.
Un chevelure qui lui descend aux épaules, d'un châtain très foncé, presque brin et très épais. Des yeux marron verts plein d'un calme meurtrier.
Il a de grande bottes de fourrures et de cuire. Ses guêtres sont ficelée avec des boyaux, de chiens sans doutes, et il porte un gilet de fourrure sans manche doublé d'un plus gros avec manches, qu'il met dès que le vent souffle.

Il combat avec deux haches, et semble savoir se battre. Il a un certain honneur, très profondément ancré, pourtant sa vie a tout l'air d'avoir été une vie de meurtre et de rapine. Vous ne savez toujours pas pourquoi il à décidé de bousculer sa vie pour vous suivre, et surtout, quel est cet honneur qui régi sa vie.

Bien qu'auréolé de mystère, il semble être une force certaine sur laquelle on peut compter. Il n'a pas caché qu'il voulait tuer Tsaï, en se rétractant ; il a encore prouvé que quelque chose d'inconnu chapeautait ses désirs. Peut-être vous plantera t-il une hache dans le cœur pour cet étrange honneur ; peut-être mourra t-il pour vous...

La maleflamme est passée sur la moitié du corps de ma'al. Nous aurions pu le croire condamné.
Mais les soins de Tsaï et son incroyable robustesse le tienne encore sur pieds, il ne gémit que que peu les spasme qui agitent régulièrement son corps prouvent qu'il souffre terriblement.

A aucun moment il s'est laissé allé, son regard semble devenir de la pierre lorsqu'il est au plus mal, un regard déterminé à lutter à ne pas demander d'aide, à tenir bon ; coute que coute.

Ses blessures semblent commencer à arrêter de suppurer, mais l'épuisement semble le rattraper, vous l'avez entendu se parler à lui même à voix très basse, comme un homme qui à besoin de sa propre voix pour tenir, se répétant sans cesse les mêmes mots.

Parfois ses yeux se perdent, certains d'entre vous ont du se demander si la douleur pouvait lui provoquer des hallucinations, quoi qu'il arrive, son endurance, bien qu'incroyable, semble trouver ses limites.

Certain sont entré dans cette tente où des sorciers au savoirs abscons rendent la santé à ceux qui n'avaient, devant eux, que la mort.

Ma'al resta longtemps dans cette tente infâme, il en paya le prix de son corps. Son silence fut, peut-être ce qui attira l’œil du corbeau sur lui. De retour de cette tente, ma'al était devenu un avatar de Tchar, tête mutilée entre le charognard et l'homme, quelques plumes parsemant son corps, et un bras devenu serre. Ces yeux de rapaces, placés sur les côtés, semblent traduire une conscience qui ne peut se protéger d'elle même, un savoir halluciné. Pourtant aucune folie ne semble avoir pris Ma'al.