L'essor des songes
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 Salvoï Raskolnikov.

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Le mechant

Le mechant


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Date d'inscription : 21/11/2010
Age : 37

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MessageSujet: Salvoï Raskolnikov.   Salvoï Raskolnikov. EmptySam 30 Juil - 20:04

Slavoï est un être étrange, il semble être le plus heureux du monde, à vrais dire il l'est. C'est ce qu'il sent en tout cas, mais il ne le pense pas ; au contraire, il se déteste tellement de ne pas être heureux. A vrais dire, il déteste le fait d'avoir tout, de ne jamais manqué de rien, que la vie soit si facile. Ce n'est surtout pas qu'il la voudrait dure, c'est qu'il voudrait autre chose ; si la vie était rude, il en serait peiné. Il en va de même de son bonheur, trop content de l'existence, il cherche à changer ce monde qui le satisfait beaucoup trop, mais il ne cherche toujours pas un monde qui ne le satisfasse pas, non ; il cherche autre chose, un autre temps, d'autre mœurs.

Ainsi il faut sportif, très sportif ; mais le sport l'ennuya, il lui fallait de nouvelles règles. Alors il chercha son salut dans le papier, il lut une quantité de livres en deux ans que peu de gens peuvent se vanter de lire en une vie. Mais deux ans plus tard, il jeta tout ses livres et dit à son meilleur ami : "En vérité on n'a jamais écrit quoi que se soit de grand" Un livre est plat, car les écrivain n'écrive pas ce qu'ils font. Il n'y aura jamais de livre palpitant, car ce ne sont que des histoire, tu comprends ? Des foutues histoires !"

Et il ne lu quasiment plus, c'est à l'armée qu'il trouva son bonheur. Les lieutenants étaient impressionnés par ses prouesses militaires, si bien qu'il fut commando, puis G.I.G.N, et enfin il fut un des Navy Seals, qu'il appelle "les phoques". Amoureux du famas et du Katana, il ne jurera que par ça lorsqu'il monta un groupe terroriste "imparable" selon ses dire. Ses anciens frères d'armes disaient qu'il n'aimait pas vraiment tuer des gens, et que pourtant il le faisait sans en souffrir ; et qu'il n'aimait pas du tout son métier, mais que l'entrainement et les opérations ne se trouvaient nul part ailleurs.

Ce fut les années les plus palpitantes de sa vie, créer un réseaux sans failles, trouver une équipe de partenaires, Hackers, chimistes, économiste etc... Il écrivit à ce moment son unique livre de 100 pages, dans lequel il écrit sa philosophie et sa pratique, c'est aussi une confession et un méa culpa d'être aussi heureux sur terre.

La banques sautèrent, les politicien de même, et les gouvernements surent très vite qui était le responsable, car Slavoï ne cachait rien. Durant plusieurs années, le Nord vécu sous la peur de cet homme. Il n'était pas l'ami du peuple, comme un Mesrine ou un Ravachole, car les médias le représentaient comme un monstre, un boucher. Ce qui n'était pas très loin de la vérité d'un certain côté.

Le peu que l'on a sur son caractère, c'est le récit de ses amis d'enfance : D'une loyauté énorme envers ceux qu'il aime, et parfois envers des gens, dont tout le monde ignorait la raison, lui dans le lot. Il était incapable d'aimer une femme, non qu'il soit misogyne, mais il se sentait si loin de ce concept, qu'il ne pouvait même pas l'imaginer. Pourtant il n'était pas un tombeur, quoi que... Aucun de ses amis n'ont pu dire avec combien de fille il a eu une aventure, mais ce dont ils sont sure, c'est que c'était une véritable aventure, et jamais une amourette bien réglée. Mais ce qui frappait le plus ses amis, c'est que plus Slavoï était heureux, plus il était insatiable d'autre chose ; son bonheur tendait toujours vers le lointain, l'inconnu. Ainsi, plus il était joyeux, plus il était content, et lorsque sa joie se focalisait sur quelque chose, il en devenait heureux et perdait donc tout son contentement.

Robuste jusqu'à la rustauderie envers lui-même et pourtant si distingué dans ses rapport sociaux, lorsqu'il le voulait. Il était de ses gens qui se font une entorse et qui la gardent quatre mois parce qu'ils ne s'en occupent pas, et forcent dessus. Son amis Dveregov parle toujours de cette histoire lorsqu'on lui demande comment était Slavoï. "C'était à croire qu'il voulait que ça continue, à partir du moment ou il était arrivé à se blesser, il n’arrêtait pas de solliciter sa blessure, bien plus que lorsqu'il avait son genoux en bon état."

Nous pourrions penser qu'il soit agressif et vindicatif lorsque nous imaginons le personnage. Pourtant, s'il tua nombre de gens et posa des bombes dans des bâtiment, c'est par joie. Une joie mécontente et terrible, que rien ne peu contenir. Enthousiaste, presque possédé, c'est son lot ; pourtant il est serein, il n'aspire pas vers le lointain par fuite, mais par manie de la construction, du déploiement. Les psychologues jugent en général qu'il est un idéaliste qui occulte la réalité, mais ses anciens amis nient complétement cette idée. Quoi qu'il arrive nous avons affaire à quelqu'un qui détruit ce système sans le détester, il pourrait s’arrêter du jours au lendemain, simplement parce que le terrorisme ne l'amuse plus, qui sait ce que sera sa prochaine expérience ?
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Le mechant

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MessageSujet: Fiche d'identité.    Salvoï Raskolnikov. EmptySam 30 Juil - 20:23

38 ans

1.95 m

Cheveux noirs légèrement ondulés.

Yeux verts clairs

Élancé mais très robuste.

Un Katana forgé par un maitre.

Le fourreau est blanc nacre, et il est écrit sur la lame : "Si l'âme du porteur est vide comme l'air, cette lame ne changera pas de main et apportera la fortune".

Un tanto forgé par un maître ou il est écrit sur la lame : "Equilibre premier".

Un famas avec un lance grenade qui provient des meilleurs manufactures de France ; tout le matériel pour le ranger dans un sac à dos et l'entretenir.

(Dis moi ce que je dois mettre d'autre.)
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Le mechant

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MessageSujet: Re: Salvoï Raskolnikov.   Salvoï Raskolnikov. EmptyMer 15 Mai - 17:01

J’étais mortel à l’époque. Je n’avais pas encore reçu la visite de ce colosse du nom de Gérard et je pensais terminer ma vie dans le sang le jour où les possédants finiraient enfin par m’avoir. Le terrorisme était mon jeu, la fête entre fils de la chaire, cette joie qui éclate lorsqu’on a survécu… Et puis les femmes ! Bref, j’étais mortel.

Mes plans sur mon avenir se sont évaporés en une seconde lorsque cet homme au poids que je tairais m’emmena en Ambre, me fit prêté serment devant un roi… Ils savaient pourtant qui j’étais, je leur ai donc fais confiance ; on ne fait pas prêter serment à un terroriste si on ne pense pas qu’il n’a aucune raison de se retourner contre nous. Puis j’appris accessoirement que ce roi était mon père, j’ai évité le complexe d’Œdipe en ne le tuant pas avant de savoir ce détail. Ce père me plaisait plutôt, artiste !
Ambre… Tout droit sortit d’un livre de fantastique, je me demandais en quoi les livres de fantastiques pouvaient sortir de la création humaine, et ou était la par d’Ombre dans tout ça… Puis je rencontrais Anna, une jeune, guerrière elle aussi, mais elle n’avait pas sauté le pas dans la violence et restait dans le judo. Nous avons mangé ensemble, le titan dont la chaise a miraculeusement tenue, Anna et moi. Puis de pauvre ères finirent en quatre parce qu’ils pensaient que dépouiller une princesse d’ambre pouvait être une bonne idée…

J’ai ensuite découvert une perle ! Le mec qui sauve tout rejeton lancé dans ce monde de fou ! Bill Roth, historien d’ambre ! Une journée passée chez lui me fit comprendre qu’être recherché par interpole est une blague à comparé d’avoir une seule goute de sang Ambrien dans le corps… Au moins mes deux destins n’étaient pas si étrangers.

Puis la marelle, je garde cette expérience pour moi, je ne sais pas du tout si lâcher la moindre information, même sur ce cahier, peut m’être préjudiciable… En tout cas, mon esprit tordu me projeta dans un endroit d’une bêtise incroyable dans laquelle des espèces de titans comme Gérard s’adonnaient à ne rien faire en habitant une éternité d’ennui, je leur appris à jouer au meilleurs jeu que je connaisse, j’y appris deux choses : un, je pouvais perdre à ce jeu ; deux, ma mâchoire, ma nuque et mon crane étaient plus solide que je ne pensais pour survivre à une telle claque ! Mes titans semblaient m’aimer et m’obéir, je saurais me souvenir de cette ombre…

Je jouais donc avec mon nouveau don, entre un famas qui pète trop fort, pas du tout ou pas assez, je compris que mes notions de physique chimie posaient problème. Je trouvais enfin un moyen d’avoir assez d’argent pour vivre un petit milliard d’année comme un seigneur, avec des diamants comme on n’en trouve plus ! J’y achetais enfin un katana dont la forge est celle d’un grand maitre.

J’y rencontrais aussi un ingénieur fou, mais ce détail n’est pas à remarquer. Faisant un dépôt dans une banque, le G.IG.N me trouva, je ne trouvais pas cela étrange, maintenant je commence à comprendre. J’en profitais pour faire péter la banque qui m’avais trahit.

Et là j’ai rencontrer ce fils de pute de Sergey !
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